Toute jeunesse vient des morts: – C’est dans une funèbre pâte – Que, toujours, sans lenteur ni hâte, – Une main pétrit les beaux corps – Tandis qu’une autre main les gâte.
Toute jeunesse vient des morts: – C’est dans une funèbre pâte – Que, toujours, sans lenteur ni hâte, – Une main pétrit les beaux corps – Tandis qu’une autre main les gâte. [ René François Armand Prudhomme, dit Sully Prudhomme – Source : Poésies ]