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Toutes les femmes préfèrent se consumer en brûlant, à être éteintes ; toutes les femmes préfèrent être dévorées, à être dédaignées.

octobre 4, 2011 Frédérick Jézégou

Toutes les femmes préfèrent se consumer en brûlant, à être éteintes ; toutes les femmes préfèrent être dévorées, à être dédaignées. Henry de Montherlant

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← Un homme sans vanité n’est pas dans le jeu : il jette un froid, on le tient à l’écart. Pour l’homme il s’agit donc moins d’être heureux, que de faire croire qu’il l’est. Au fond [. .. ] comme ils aspirent tous à la retraite ! Mais on ne les croirait pas heureux, on croirait qu’ils ont renoncé, ou n’ont pas été capables, et alors ils partent sur l’autre rail, font les importants, s’engagent dans la honteuse et ridicule agitation où nous les voyons, donnent beaucoup de coups de téléphone, et bientôt une journée de bonheur devient pour eux une journée où ils ont donné beaucoup de coups de téléphone, c’est-à-dire une journée où il sont été très importants.
L’amitié homme-femme est ce que la musique est à l’instrument qui la produit. L’amitié homme-femme est une musique, parfaitement immatérielle et céleste, parfaitement différente de la sensualité, mais qui n’existe que par elle. →

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