Tu es telle qu’une fleur, si charmante, si belle et si pure ! Je te contemple, et la tristesse se glisse dans mon cœur. Je crois que je devrais étendre mes mains sur ta tête et prier Dieu qu’il te conserve si pure, si belle, si charmante !.
Tu es telle qu’une fleur, si charmante, si belle et si pure ! Je te contemple, et la tristesse se glisse dans mon cœur. Je crois que je devrais étendre mes mains sur ta tête et prier Dieu qu’il te conserve si pure, si belle, si charmante !. Heinrich Heine