Tu pars ; et cependant m’as-tu toujours haï, Symétha ? – Non, ton coeur quelquefois s’est trahi ; -Car, lorsqu’un mot flatteur abordait ton oreille, La pudeur souriait sur ta lèvre vermeille.
Tu pars ; et cependant m’as-tu toujours haï, Symétha ? – Non, ton coeur quelquefois s’est trahi ; -Car, lorsqu’un mot flatteur abordait ton oreille, La pudeur souriait sur ta lèvre vermeille. Alfred de Vigny