Un contact avec la réalité, léger et fort comme l’attouchement d’une main aimée : unité, dans un abandon de soi qui n’est pas anéantissement de soi, dans la clarté du sentiment et la chaleur de l’entendement. Comme cela est proche, au soleil et sous le vent, comme cela est loin.
Un contact avec la réalité, léger et fort comme l’attouchement d’une main aimée : unité, dans un abandon de soi qui n’est pas anéantissement de soi, dans la clarté du sentiment et la chaleur de l’entendement. Comme cela est proche, au soleil et sous le vent, comme cela est loin. Bertil Malmberg
Toutes nos prises de contact avec la réalité devraient être ainsi.