Un jour, à force de caresser les mots, ils m’entraîneraient avec eux sous la surface, et il n’y aurait plus personne au-dessus du livre ouvert.
Un jour, à force de caresser les mots, ils m’entraîneraient avec eux sous la surface, et il n’y aurait plus personne au-dessus du livre ouvert. Didier van Cauwelaert