Un vieil avare avait une corneille apprivoisée, qui avait l’habitude de voler des pièces de monnaie et de les cacher dans un trou ; ce que le chat ayant remarqué, il lui demanda pourquoi elle amassait ces ronds brillants qui ne lui étaient bons à rien. « Eh mais ! dit la corneille, mon maître en a un plein coffre, et il n’en fait pas plus d’usage que moi. »
Un vieil avare avait une corneille apprivoisée, qui avait l’habitude de voler des pièces de monnaie et de les cacher dans un trou ; ce que le chat ayant remarqué, il lui demanda pourquoi elle amassait ces ronds brillants qui ne lui étaient bons à rien. « Eh mais ! dit la corneille, mon maître en a un plein coffre, et il n’en fait pas plus d’usage que moi. » Jonathan Swift