Une ville ne s’appréhende pas seulement avec les yeux et les oreilles. Non c’est d’abord avec le nez, ensuite avec l’estomac, et finalement avec les nerfs. Les plus fortes sensations sont olfactives.
Une ville ne s’appréhende pas seulement avec les yeux et les oreilles. Non c’est d’abord avec le nez, ensuite avec l’estomac, et finalement avec les nerfs. Les plus fortes sensations sont olfactives. Sándor Márai