Vincent Cespedes
Le goût à réinterpréter les choses (ce que j’appelle la puissance narrative) se perd dans un monde d’images, et le texte doit être réhabilité pour ça.
Le goût à réinterpréter les choses (ce que j’appelle la puissance narrative) se perd dans un monde d’images, et le texte doit être réhabilité pour ça.