Voltaire
(à propos des passions) Ah ! qu’elles sont funestes. Ce sont les vents qui enflent les voiles du vaisseau : elles le submergent quelquefois mais sans elles l’homme ne saurait vivre.
(à propos des passions) Ah ! qu’elles sont funestes. Ce sont les vents qui enflent les voiles du vaisseau : elles le submergent quelquefois mais sans elles l’homme ne saurait vivre.