Vos écrits, monsieur, ne font vivre personne : Le plus beau des discours ne vaut pas une aumône ; Et quand un malheureux vient vous tendre la main. Laissez là vos écrits et donnez-lui du pain.
Vos écrits, monsieur, ne font vivre personne : Le plus beau des discours ne vaut pas une aumône ; Et quand un malheureux vient vous tendre la main. Laissez là vos écrits et donnez-lui du pain. Charles-Guillaume Étienne