Vous me dites que vous souffrez. Cela vous tiendrait lieu d’oraison, si vous n’en aviez pas d’autre. La souffrance est l’oraison de ceux qui ne pensent ni ne prient.
Vous me dites que vous souffrez. Cela vous tiendrait lieu d’oraison, si vous n’en aviez pas d’autre. La souffrance est l’oraison de ceux qui ne pensent ni ne prient. Montherlant