Yukio Mishima
Les infirmes, comme les jolies femmes, sont las d’être regardés ils ont la nausée de vivre continuellement cernés par le regard des autres, et c’est de leur existence même qu’ils chargent le regard qu’ils renvoient aux autres.
Les infirmes, comme les jolies femmes, sont las d’être regardés ils ont la nausée de vivre continuellement cernés par le regard des autres, et c’est de leur existence même qu’ils chargent le regard qu’ils renvoient aux autres.