Qui a dit : Le malheur des uns fait le bonheur des autres ?
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Qui est l’auteur de la formule ? : Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Parfois avec le même cynisme utilisé en inversant les termes : le bonheur des uns fait le malheur des autres.
Meilleure réponse
Voltaire, écrivain et philosophe français est souvent en effet considéré comme l’auteur de la formule.
« Tout cela était indispensable, […] et les malheurs particuliers font le bien général, de sorte que plus il y a de malheurs particuliers, et plus tout est bien. »
Dans Candide ou l’optimisme
mais également
« Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe : je me suis trouvé dans les deux cas. C’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe. »
Un proverbe du vieux français dit : Ce qui nuit à l’un duit [profite] à l’autre. Il vient d’Érasme qui, dans ses Adages (IV) écrit : « Ce qui nuit à l’un profite à l’autre ».
Question ouverte donc autorisant plusieurs bonnes réponses !
Le profit de l’un est le dommage de l’autre.
Montaigne
Essais
Michel Eyquem de Montaigne, seigneur de Montaigne, né le 28 février 1533 et mort le 13 septembre 1592 au château de Saint-Michel-de-Montaigne,
Est-ce ?
Un proverbe car les auteurs comme Voltaire, Corneille ou Montaigne s’ils expriment dans leurs œuvres l’idée générale de cette formule, celle-ci n’est pas présente dans leurs écrits.
Est-ce ?
Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l’aîné » (Pas le chanteur ! ), né le 6 juin 16061 à Rouen et mort le 1er octobre 16842 à Paris (paroisse Saint-Roch), est un dramaturge et poète français du XVIIe siècle.
Est-ce ? :
François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris, ville où il est mort le 30 mai 1778 (à 83 ans), est un écrivain et philosophe français qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale.
Figure emblématique de la philosophie des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux, qu’il nomme « l’Infâme », pour la tolérance et la liberté de pensée.
