Ce que je garde en moi je l’étouffe et le tue Et quand je fermerai les yeux à la lumière Nul ne saura de toi ce que j’en aurai tu Douceur des choses coutumières Je n’ai plus très longtemps devant moi désormais Chaque vers que j’écris c’est mon sang que je donne Si je fais le choix d’août sans doute est-il un mai Que ne dira jamais personne.
Ce que je garde en moi je l’étouffe et le tue Et quand je fermerai les yeux à la lumière Nul ne saura de toi ce que j’en aurai tu Douceur des choses coutumières Je n’ai plus très longtemps devant moi désormais Chaque vers que j’écris c’est mon sang que je donne Si je fais le choix d’août sans doute est-il un mai Que ne dira jamais personne. Aragon