J’ai écrit quelque part : La jeunesse, c’est la passion pour l’inutile. On a beau crier contre ; j’attends une meilleure définition de cet état magique qui dresse tous les nerfs, toutes les artères, toutes les veines d’un être, drus comme des blés en gerbes.
J’ai écrit quelque part : La jeunesse, c’est la passion pour l’inutile. On a beau crier contre ; j’attends une meilleure définition de cet état magique qui dresse tous les nerfs, toutes les artères, toutes les veines d’un être, drus comme des blés en gerbes. Jean Giono