Pourquoi gémir de la fuite de ma jeunesse ? Des jours de délices m’attendent peut-être encore : l’affection n’est pas morte. Quand je repasse dans ma mémoire les années de mon adolescence, une éternelle vérité, gravée en caractères ineffaçables, me donne de célestes consolation. Zéphyrs, portez-la dans ces Hem où mon cœur battit pour la première fois : l’Amitié est l’Amour sans ailes !.
Pourquoi gémir de la fuite de ma jeunesse ? Des jours de délices m’attendent peut-être encore : l’affection n’est pas morte. Quand je repasse dans ma mémoire les années de mon adolescence, une éternelle vérité, gravée en caractères ineffaçables, me donne de célestes consolation. Zéphyrs, portez-la dans ces Hem où mon cœur battit pour la première fois : l’Amitié est l’Amour sans ailes !. George Gordon Byron