Là où ces ifs balancent légèrement leurs branches au souffle de la brise, s’élève une tombe simple et oubliée, monument de la destinée qui nous est commune à tous. Voyez jouer autour d’elle d’insouciants écoliers, jusqu’à ce que retentisse dans le studieux manoir l’ennuyeuse cloche qui met fin aux jeux enfantins. Mais ici, partout ou je porte mes pas, mes pleurs silencieux ne prouvent que trop que l’Amitié est l’Amour sans ailes.
Là où ces ifs balancent légèrement leurs branches au souffle de la brise, s’élève une tombe simple et oubliée, monument de la destinée qui nous est commune à tous. Voyez jouer autour d’elle d’insouciants écoliers, jusqu’à ce que retentisse dans le studieux manoir l’ennuyeuse cloche qui met fin aux jeux enfantins. Mais ici, partout ou je porte mes pas, mes pleurs silencieux ne prouvent que trop que l’Amitié est l’Amour sans ailes. Lord Byron