Un mari est toujours plus ou moins ridicule. Se croire propriétaire d’une femme est puéril. Une femme n’appartient à personne. C’est une chose exposée aux convoitises. La femme la plus sérieuse se répand dans les yeux qui la sollicitent.
Un mari est toujours plus ou moins ridicule. Se croire propriétaire d’une femme est puéril. Une femme n’appartient à personne. C’est une chose exposée aux convoitises. La femme la plus sérieuse se répand dans les yeux qui la sollicitent. Frédéric Dard