Les imaginations ardentes succombent facilement à l’ennui, non à l’ennui qui vient de l’inaction, celui-là n’accable que les sots, mais à cet ennui profond que j’appellerai, ne pouvant mieux le définir, le vertige du vide.
Les imaginations ardentes succombent facilement à l’ennui, non à l’ennui qui vient de l’inaction, celui-là n’accable que les sots, mais à cet ennui profond que j’appellerai, ne pouvant mieux le définir, le vertige du vide. Émile de Girardin