Impossible de savoir quand et comment on est libre, quand et comment on est manœuvré. Si chaque fois, on voulait s’examiner pour identifier la nature précise d’un acte, on déboucherait plutôt sur un vertige que sur une conclusion. On en déduira que s’il y avait une solution au problème du libre-arbitre, la philosophie n’aurait aucune raison d’exister.
Impossible de savoir quand et comment on est libre, quand et comment on est manœuvré. Si chaque fois, on voulait s’examiner pour identifier la nature précise d’un acte, on déboucherait plutôt sur un vertige que sur une conclusion. On en déduira que s’il y avait une solution au problème du libre-arbitre, la philosophie n’aurait aucune raison d’exister. Cioran