La tablette de cire où le destin avait rédigé chaque ligne de ma vie, fondait inexorablement, comme à la fin d’une journée d’école, sur la flamme de l’oubli.
La tablette de cire où le destin avait rédigé chaque ligne de ma vie, fondait inexorablement, comme à la fin d’une journée d’école, sur la flamme de l’oubli. Dimitri Millefiori