Le guerrier doit cultiver le sentiment qu’il dispose absolument de tout pour ce voyage extravagant qu’est sa vie. Ce qui compte pour lui c’est d’être vivant. La vie en elle-même est suffisante, complète, et justifie tout le reste. On peut même dire, sans être présomptueux, que l’expérience suprême est d’être vivant.
Le guerrier doit cultiver le sentiment qu’il dispose absolument de
tout pour ce voyage extravagant qu’est sa vie. Ce qui compte pour lui c’est d’être vivant. La vie en elle-même est suffisante, complète, et justifie tout le reste. On peut même dire, sans être présomptueux, que l’expérience suprême est d’être vivant. Carlos Castaneda