L’homme est fait pour aller du moins au plus. Aussi le monde télescopique de l’infiniment grand lui cause-t-il moins d’étonnement que le monde microscopique de l’infiniment petit ; il est plus chez lui, ou moins loin de lui, dans l’infiniment grand que dans l’infiniment petit ; la vue d’un infusoire le surprend et le frappe davantage que celle d’un soleil.
L’homme est fait pour aller du moins au plus. Aussi le monde télescopique de l’infiniment grand lui cause-t-il moins d’étonnement que le monde microscopique de l’infiniment petit ; il est plus chez lui, ou moins loin de lui, dans l’infiniment grand que dans l’infiniment petit ; la vue d’un infusoire le surprend et le frappe davantage que celle d’un soleil. Charles Dollfus