Mai 1916. Étienne, soldat au 109e régiment d'infanterie territoriale, est au repos dans un petit village à l'arrière du front. Au cours de cette période de répit, après les rudes combats de la Marne et du Soissonnais, Étienne va se lier d'amitié avec une jeune veuve : Pauline.
Cette rencontre insolite est connue grâce aux nombreux courriers qu'Étienne a rédigés pendant cette période et qui ont été retrouvés par hasard près de cent ans après.
Ce roman, inspiré de cette histoire vraie, est un hommage à ces femmes de l'ombre qui ont apporté leur soutien aux soldats des armées françaises durant la Grande Guerre.
Mais qui est le Kosak ? Que pouvait-il bien faire sur les toits ?Comme le héros de Jean Giono, c'est un homme bon, généreux et courageux, au destin extraordinaire.Une erreur administrative des Allemands, ainsi que les aléas de la guerre, le conduiront à travers l'Europe, de Hayange (en Lorraine) jusqu'à Moscou, en passant par Berlin. Grâce à son ange gardien, toujours présent à ses côtés, il sortira vivant des camps de concentration et s'engagera dans l'armée russe pour combattre les nazis. De retour à Berlin, dans la capitale du Reich en ruine, occupée par les Soviétiques, il sauvera des dizaines de femmes allemandes exposées aux violences vengeresses des Russes, en les cachant sous les toits des immeubles bombardés. Après avoir affronté bien des dangers et subi de terribles épreuves dans les camps de la mort, il retrouvera, heureusement, en France, toute sa famille saine et sauve.
En 1948, il renoue hélas avec la tragédie. Le devoir le conduit en Indochine où l'attend à nouveau la guerre…
Mai 2018 : Marion décide de supprimer de son identité la particule : Le Pen. Questionnement dans le microcosme politique. Pourquoi ?
Une source dite bien informée fait état d'un document technique d'une trentaine de pages qui expliciterait pourquoi la suppression de : Le Pen, est importante.
Un commanditaire offre une prime conséquente à qui mettra la main sur ce document technique. Des informations farfelues circulent et certains détectives vont même « interroger » les travaux des grands maîtres templiers du treizième siècle.
De Brénac qui fut ingénieur avant d'être détective ne se laisse pas distraire et met la main sur ce dossier constitué de petits algorithmes identitaires mettant en évidence l'importance de la particule : Le Pen. Indéniablement surprenant.
Ce roman est mené au rythme d'une enquête. La syntaxe en tient compte.
Algo de Carlencas est ingénieur de formation, passionné de littérature active. Il doit son surnom d'Algo à ses collègues de travail car, bien souvent, pour résoudre un problème, il fait appel aux algorithmes.
Elle est partie, elle a tué, elle a fui... Tout ce qu'elle était prête à faire, Naïla l'a fait. De Paris à Lafayette jusqu'en Jordanie, en passant par un petit village du Sud de la France, son envol crée un véritable effet papillon. Un phénomène que vous connaissez certainement.
Si un battement d'ailes de papillon au Texas peut provoquer un ouragan au Japon, un simple battement d'ailes de Naïla ainsi qu'un crash d'avion peuvent semer le trouble à Amman et le chaos en Louisiane.
Attachez votre ceinture : décollage imminent.
En ce mois de juillet 1936, Andoni et Telesforo deux enfants de huit ans jouent au football dans un square d'Irún.
Cette partie sera leur dernière car quelques jours plus tard, le général rebelle Mola met le Pays basque à feu et à sang.
Le père d'Andoni, Iñigo Larunari-Atxeari, en bon soldat discipliné, s'en va rejoindre les milices basques restées fidèles à la République.
À l'inverse, le père de Telesforo, le juge Gonzalo trahit sans vergogne la cause basque qu'il venait d'épouser, pour rejoindre le camp de la rébellion !
L'enfance d'Andoni et de Telesforo vient d'être plongée à tout jamais dans les affres de la violence indicible d'une guerre civile.
Il ne reste plus qu'à accompagner la fuite d'Andoni pour essayer de reconstituer ces temps de violence extrême, née de l'alliance discrète des élites économiques avec les militaires fascistes !
La Seconde Guerre mondiale vient de débuter en Euzkadi…
C'est en explorant le grenier d'une vieille ferme basque que Marc Etxeberria Lanz a découvert un étonnant « trésor » !
Ce jour-là, il a compris que le traumatisme de la guerre d'Espagne avait été enfoui dans une mémoire morte indéfinie puisque sa famille appartenait au camp des vaincus.
L'harmoniste reclusien a provisoirement posé son sac à dos pour avoir le temps de reconstituer puis d'écrire ce drame familial oublié.