En 1992, à Milan, un groupe de journalistes, cinq hommes et une jeune femme, sont embauchés pour créer un nouveau quotidien qu'on leur promet dédié à la recherche de la vérité, mais qui se révèle un pur instrument de calomnie et de chantage.
Ils fouillent dans le passé pour mettre en page leur « numéro zéro », et c'est le présent qui leur saute au visage…
« L'ombre de Mussolini, donné pour mort, domine tous les événements italiens depuis 1945 » : est-ce là le délire d'un journaliste d'investigation paranoïaque ? Mais alors, pourquoi le retrouve-t-on assassiné un beau matin ?
Attentats, tentatives de coups d'Etat, empoisonnements, complots, stratégie de la manipulation, de la désinformation et de la tension : quand tout est vrai, où est le faux ?
Umberto Eco nous offre ici la tragédie burlesque de notre temps.
Umberto Eco, né en 1932, médiéviste, sémioticien, philosophe, critique littéraire et romancier, a connu un succès mondial avec son roman Le Nom de la rose en 1980. Président de l'Ecole supérieure des Etudes humanistes à l'université de Bologne, il est l'auteur de romans qui font date, parmi lesquels Le Pendule de Foucault, Baudolino, La mystérieuse reine Loana, Le Cimetière de Prague et de nombreux essais : L'½uvre ouverte, La guerre du faux, Histoire de la laideur, Histoire de la beauté.
Sacha et sa bande sont de la Génération H, génération de fumeurs d'élite, amatrice de plaisirs interdits et de fêtes inoubliables. De sound systems en soirées villas, de festivals en carnavals indépendants, de Barcelone à Amsterdam, ils brûlent leur vie comme un gros spliff de weed. Insoumis à l'ordre établi et rompus au système D, ces débrouillards d'un genre nouveau entament le troisième millénaire à cent à l'heure sur une bande-son démoniaque mêlant cultures urbaines, musiques électroniques, reggae et rock alternatif. Têtes chercheuses d'existence, ils tentent de rester fidèles à l'underground et à leurs idéaux qui se fracassent contre les pièges de la prohibition et de la société de consommation. Tribu hédoniste et enfiévrée, voguant de voyages hallucinés en amours sans lendemain, de nuits blanches en aubes radieuses, la Génération H est le reflet de la jeunesse de France qui veut vivre sans entraves et profiter de son existence, ici et maintenant.
La Génération H a enfin son roman, une plongée sans concession dans la culture hasch et la France qui fume. Faites tourner.
Maître de Conférences, géographe à l'Université Aix-Marseille, globe-trotter, Alexandre Grondeau écrit depuis son plus jeune âge. Inspiré par Jim Harrison, Louis-Ferdinand Céline, José Saramago, Isaac Asimov ou encore Georges Orwell, il est passionné par les mouvements underground et par la contre-culture. Depuis plus de 10 ans, il est par ailleurs critique musical, spécialiste des musiques jamaïcaines et écrivain. Génération H, Têtes chercheuses d'existence est son quatrième roman.
Le prince Setna et le mage noir, ou l'ultime face à face
Le prince Setna est sur le point de retrouver sa fiancée Sékhet, qui se cache dans Memphis pour échapper aux tueurs. Mais le mage noir, Kékou, réussit à le devancer. Il kidnappe la jeune femme afin de s'emparer de son âme. Cet odieux stratagème est le seul qui lui permettrait d'actionner les pouvoirs du vase d'Osiris et d'en faire une arme de destruction. Setna doit faire vite pour sauver son grand amour. Accompagné de ses fidèles complices, il se lance dans une terrible bataille contre le Mal. Parviendra-t-il à déjouer les pièges maléfiques de Kékou ? Réussira-t-il à défaire l'infâme complot que ce dernier ourdit à l'encontre de Ramsès II ? Retrouvera-t-il enfin le vase d'Osiris ?
Un final magistral où s'affrontent courage, intelligence et magie
Mathilde, Alice, Lucie et Éva nous ont ouvert la porte de La Cour des grandes. De leurs joies et peines à leurs pensées les plus intimes, nous avons tout appris de ces héroïnes du quotidien. Pendant une année entière, elles nous ont embarqués dans le tourbillon de leurs journées à cent à l'heure. Mais qu'en est-il des hommes qui ont lié leur destin au leur ?
De Fred, le chef bourru secrètement amoureux d'Eva ; de Max, égaré dans la paternité autant que dans son couple et sa vie tout court ; de Christophe, en apparence si lisse et sûr de ses choix ; de Vincent, aux absences mystérieuses, d'Adrien, emporté par le démon de midi, et de Jacques, cet inconnu d'une nuit, que savons-nous finalement, si ce n'est ce qu'en perçoivent leurs compagnes ?
D'ailleurs, que savent-ils de leur femme ? Comment vivent-ils leur paternité, leur place dans le couple ? Que ressentent-ils, ces hommes si peu enclins à la confidence, qui peinent à trouver leur place dans une société en pleine mutation ?
Adèle Bréau a choisi d'en faire les héros de ce nouveau roman. Tiraillés entre leur ambition et la quête d'un bonheur personnel, comment gagneront-ils ces Jeux de garçons où les plus forts ne sont plus les mêmes qu'autrefois ?
Car les règles ont changé…
La plupart des hommes se divisent en deux catégories : 1) Les serial lovers à mémoire de poisson rouge – ceux qui notent le prénom de leur conquête d'un soir sur la paume de la main pour être sûrs de ne pas l'oublier au réveil. 2) Les idiots qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez – ceux qui promettent de ne jamais toucher à la sœur de leur meilleur ami
Connor n'échappe pas à la règle : il réussit même l'exploit de faire partie des deux catégories à la fois. Connor, c'est le meilleur ami de mon frère. Le mec le plus canon que j'aie jamais rencontré. Et accessoirement l'heureux élu avec qui je me suis honteusement envoyée en l'air j'ai passé un délicieux moment lors d'une soirée très arrosée à la tequila. Une nuit intense, passionnée, mémorable… suivie d'une douche froide quand il a compris qui j'étais et qui j'allais devenir – sa colocataire. Depuis, j'ai découvert qu'il appartenait en fait à une troisième catégorie : les serial lovers idiots qui n'assument pas leurs erreurs nocturnes, mais qui vous font des pancakes en boxer dès qu'ils en ont l'occasion…
A propos de l'auteur Emily Blaine est LA success story made in HQN ! Si l'envoi de son premier manuscrit tient presque de l'accident (un pari avec ses copines), les lecteurs sont immédiatement tombés sous le charme de sa plume drôle, fine et sexy qui rend très vite accro. Révélée par Passion sous contrat, consacrée par la série « Dear You » et confirmée par le succès de chacun de ses nouveaux titres, Emily Blaine est devenue, avec plus de 60 000 romans vendus, la reine incontestée de la romance moderne à la française. Car elle est bien française ; bretono-parisienne pour être plus précis. Son âge est un secret très bien gardé et la rumeur veut qu'elle n'atteigne jamais la barre des trente ans !
« Ce jour-là, j'ai su que les portes du Royaume de Notre Sauveur ne s'ouvriraient pas pour nous, qui étions encore des animaux cruels à visage d'homme.
Cette chronique est ma confession. Rouge de sang est toute guerre. Aucune n'est sainte. »
En l'an 1095, Guillaume de Thorenc, jeune chevalier, entend l'appel du pape Urbain II. Comme des milliers de pèlerins, il s'engage dans la Première croisade. Il est prêt à se battre pour libérer Jérusalem de la barbarie des païens et des Infidèles. « Dieu le veut ! »
Très vite, pourtant, sa foi est profondément contrariée par le spectacle qui lui est donné. Chevaliers et seigneurs font preuve d'orgueil, de cupidité et bientôt de la plus extrême cruauté. Guillaume de Thorenc assiste, impuissant, aux atrocités commises par ses frères d'armes : pillages, incendies, saccages, viols.
Au soir de sa vie, une question l'assaille : « Dieu a-t-il voulu cela ? »
Près d'un millénaire plus tard, Max Gallo se lance sur les traces de ces guerriers de Dieu devenus ennemis des hommes.
Une chronique vibrante sur le dévoiement de la foi et la puissance du remord.
Ferdinand Brun est atypique. Le genre de vieux monsieur qui boude la vie et s'ennuie à (ne pas) mourir. Tel un parasite, il occupe ses journées en planifiant les pires coups possible qui pourraient nuire et agacer son voisinage. Il suffit d'un nœud qui se relâche et laisse partir son seul compagnon de vie, Daisy sa chienne, pour que tout s'écroule.
Quand Juliette, une fillette de dix ans, et Béatrice, la plus geek des grands-mères, forcent littéralement sa porte pour entrer dans sa vie, Ferdinand va être contraint de se métamorphoser et de sortir de sa chrysalide, découvrant qu'il n'est jamais trop tard pour commencer à vivre.
Mémé dans les orties suit les tribulations hilarantes d'un octogénaire atypique, en proie à des difficultés relationnelles, particulièrement avec les femmes qu'il côtoie.
« Il y a quelques années, je sortais dans la rue avec une étoile de David autour du cou. J'étais fière de m'appeler Esther Vidal et je ne baissais pas la voix pour dire mon nom. Nous n'étions pas en danger dans la ville. Ni agressés à la sortie de l'école, de la synagogue, ou chez soi. Traiter quelqu'un de “sale juif” était un tabou. Je ne pensais pas qu'il pût y avoir dans Paris des manifestations contre les juifs.
A vrai dire, je n'aurais même pas imaginé que l'on puisse entendre, lors d'une manifestation, « A mort les juifs ». »
L'histoire d'une femme, le destin d'un peuple : sur fond d'antisémitisme et de retour de la haine, le nouveau roman d'Éliette Abécassis se présente comme une double histoire d'amour. Celle d'Esther avec la France. Celle d'Esther avec Julien, qui est écrivain. A travers une épopée personnelle et collective, qui la mènera sur le chemin de l'histoire de sa famille en France, la narratrice se pose la douloureuse question de devoir quitter son pays.
Un roman choc sur le syndrome d'une société qui sombre dans la barbarie.
Romancière et essayiste, Eliette Abécassis alterne textes intimistes (La répudiée, Mon père, Un heureux événement), épopées (Qumran, Le Trésor du Temple, Sépharade) et essais (Petite métaphysique du meurtre, Le Livre des Passeurs, Le Corset invisible). Elle collabore par ailleurs régulièrement à des journaux (Le Monde des Religions, Le Figaro littéraire, Elle) et travaille pour le cinéma (Kadosh, Un heureux événement).