« Eléade Reine d'Aliore célèbre son quinzième anniversaire, lorsqu'elle apprend que sa sœur la reine Léna a quitté son mari et son royaume pour s'enfuir avec le prince Polis d'Ionos, l'actuel fiancé d'Eléade.
Humilié, le Roi Léas, le beau-frère d'Eléade demande la mobilisation de tous les souverains pour faire la guerre contre le royaume d'Ionos afin de récupérer sa femme. Seul contre tous, Eléade n'a d'autres choix que de participer à cette guerre. Accompagné de son meilleur ami Nélée et de son fidèle allié le roi Icar. Eléade devra se battre au fur et à mesure que la guerre se prolonge et que le sang coule, mais elle finira par découvrir la véritable raison pour laquelle sa sœur s'est enfuie. ».
Marine Hardy signe ici son premier roman.
Qu'ont en commun une enfant gâtée qui joue les mères au foyer débordées, une artiste poursuivie par un mystérieux inconnu, une cascadeuse en mal d'amour, une secrétaire médicale célibataire depuis toujours et une superbe scientifique condamnée à regarder son mari se lamenter sur sa situation de chômeur ? A priori, rien. Il faudra bien un scandale médical sur fond de miracle minceur, un abandon de domicile conjugal et une thérapie pour qu'Alice, Laure, Abby, Églantine et Mallory deviennent amies et unissent leurs forces – et leurs faiblesses – pour se sortir des situations plus improbables les unes que les autres.
Vif et enlevé, le ton de l'auteur, allié à un sens indéniable de l'humour, nous entraîne dans les aventures délirantes de cinq femmes aussi différentes que délicieusement névrosées.
J. B. Junior dit « Le Chat », perché à la plus haute fourche de « son » chêne bicentenaire, jette un regard de défi sur le château des Chastuble et s'engage dans un cirque de passage, le Milano, où il deviendra trapéziste.
Puis, à partir de vacances à Massalia, ce sera « la Royale » qu'il servira comme officier, entraînant avec lui son demi-frère Joseph, ethnologue, dans une importante expédition maritime à destination de l'Indochine.
La remontée du fleuve Rouge, destiné à tester la navigabilité vers la Chine, l'entraînera dans un affrontement terrestre contre les Pavillons noirs. Blessé, prisonnier, il sera l'otage des Pavillons noirs.
Confié à un village thaï pour guérir ses blessures, afin qu'il devienne une monnaie d'échange juteuse.
Thi Kien, une jeune et belle infirmière, le soignera et le gardera. Un grand et bel amour les unira. Ils auront quatre enfants. Jean Biguet, parfaitement intégré, deviendra un « cadre villageois », transformant un hameau en gros village modernisé. Et surtout, il fera aimer cette France… colonisatrice…
Xuan. Jean, leur brillant fils aîné, basculera dans la lutte secrète pour l'indépendance du Vietnam.
Du Japon, Xuan actionnera une plate-forme de lutte pour tous les peuples d'Asie Océanie.
Au cours d'un retour maritime d'une mission spéciale, il sera, comme son père, otage de pirates écumeurs des mers, alors qu'il était accompagné de Greita, sa compagne.
Le paradoxe a voulu que le chef des pirates soit, comme lui, un rebelle, ingénieur agricole, victime d'un stupide racisme, implanté sur une île qu'il s'est appropriée.
Finalement, ils s'associeront, exploitant les richesses fabuleuses de ce petit territoire qui deviendra « l'île aux trésors ».
Riches, ils se dédouaneront de leur abandon, en aidant financièrement leurs honorables perdurants.
"Ce récit est d'abord une incitation à un voyage où le passé invite à naviguer au fil de la Meuse. Puis, le présent retrouvé engage deux amis à une exploration forestière. Cette randonnée pédestre les amènera sur d'anciens sentiers mérovingiens et sur le toit des Ardennes, le sommet de la Croix-Scaille, avant de croiser des chasseurs et des braconniers. Mais le vrai personnage de ce récit reste les Ardennes, ses paysages multiples qui plongent le lecteur au plus profond de ce terroir, de ses croyances ancestrales et de ses coutumes."
"Parce qu'on a voulu réparer cette portion d'autoroute, on a creusé le bitume et réveillé de vieilles histoires. Celle-là d'abord, l'histoire de l'accident du motard et de l'embouteillage qui a suivi. Un enfer. Un véritable enfer, comme dans La Divine Comédie de Dante, avec ses neuf cercles et ses âmes damnées, toutes coupables et rassemblées dans un espace brûlant. Enfermés dans l'attente et tous très différents, les personnages de cette histoire n'auraient sans doute jamais dû se rencontrer."
À quatre heures du matin, de la porte qui reliait la chambre des mères à l'antichambre aveugle où
étaient disposés les lits de trois enfants – porte qui venait de s'ouvrir avec de telles précautions que
j'avais fini par déchiffrer le message d'avoir à me lever – m'était parvenu, sorti d'une bouche invisible,
l'ultrason de la formule rituelle « Gérard c'est l'heure ».
Le petit village de Coustaussa situé à quelques kilomètres de Rennes le Château (Aude) a été, le 1er novembre 1897, le théâtre d'un crime épouvantable. Antoine Gélis, curé de la paroisse, a été assassiné dans sa cuisine...
Emmanuel Bram, nous révèle ici un étonnant document adressé à son grand-père Francis Bram...