Nous sommes en 1915. La guerre bat son plein. Mais Éva, encore très jeune, l'ignore. Elle vit, heureuse, chez sa grand-mère, une riche bourgeoise qui la choie et l'élève comme une princesse. C'est parce qu'elle est toujours soignée, pomponnée et vêtue de jolies robes qu'à l'école on l'appelle « la gosse de riche ». - À 17 ans, elle découvre le Paris de 1925. Le Paris des amusements et de la fête. Le Paris de l'audace et de l'extravagance. C'est l'époque où le « Tout-Paris » se rassemble dans les cafés du boulevard Montparnasse. Au milieu de toute cette agitation, Éva est fascinée et conquise. Un jour, elle rencontre Joseph, fils de pacha, héritier du palais familial d'Alexandrie dont elle s'éprend. C'est alors que sa vie bascule. - Ce récit est l'histoire véridique de la famille de l'auteure.
Le roman qu'une fois commencé, vous ne lâcherez plus ! L'histoire se déroule sur les coteaux et caves troglodytiques des bords de Loire, que l'auteur connaît bien. Dans nos vies, nous voulons être heureux, vivre au mieux, quoi de plus normal. Chacun souhaite sa part de Bien au-delà du Mal et aspire à une vie meilleure, c'est évident, n'est-ce pas ? C'est ce que pensent aussi les âmes pures des deux héroïnes hors du commun : ainsi Dominique dite Marie-Do, 18 ans, recherche le bien de sa famille… et Brigitte Histre idéalise toujours le « Peace and Love » de sa période hippie… Nul doute que les deux rêvent, chacune à sa façon, d'un monde beau, et c'est louable. Le problème est que le mieux est souvent l'ennemi du bien, et lorsque les aventures extraordinaires de ces deux femmes déconcertantes vont se croiser dans ce roman complet, l'impensable qui n'était pas convié à la fête vous entraînera au bout des illusions humaines, en un suspense psychologique inoubliable… Ou : Jusqu'où peut-on aller (ou pas) pour faire le bien ? Complément d'information dans l'AVERTISSEMENT AU LECTEUR en pages 8 et 9.
Pierre CREET vous offre un réel plaisir de lire, captivant ses lecteurs(rices) avec des romans passionnants aux personnages vraiment étonnants, dérangeants souvent… toujours placés dans des situations fortes, et inattendues… Mais, lui, reste très sensible, humain, et on le sent au fil des pages. C'est ce contraste singulier, qui lui est si particulièrement propre, s'ajoutant à son imagination naturellement débordante, qui crée toute la force et le charme original de ses romans.
Elisabeth von WREDE (illustratrice de la couverture).
Célébration de la création d'une librairie indépendante qui sera menacée par le consumérisme. Combat humanisme, culturel et histoire d'amour se mêlent de façon inattendue.
Qu'elle soit exiguë et secrète, qu'elle obéisse à une classification rigoureuse ou personnelle, que les livres qui la composent soient alignés ou dans des cartons, qu'est-ce qu'une librairie, sinon le rêve d'une vie ?
Jacques Mersaud réalise ce rêve dans la ville haute de Bar-le-Duc. Sa passion des livres, sa sensibilité littéraire et sa vivacité font de sa librairie, le Cahier Bleu, une référence culturelle.
Au bord de l'Ornain, alors que son entreprise est peu à peu menacée par les grandes surfaces, les sites de commande en ligne et le consumérisme, Mersaud rencontre une femme lisant un roman d'André Gide, et en tombe amoureux. Mais Nicole D. disparaît de façon étrange, le laissant désemparé. Son combat humaniste et son grand amour se mêlent alors de façon inattendue.
Célébration de la plus civilisée des passions humaines, il ressort de ce roman d'amour et d'aventure que fonder une librairie n'est rien de moins qu'une mise à l'épreuve d'ordre philosophique dont l'avènement du numérique ne saurait réduire la portée.
Pour tout public. Publié avec le soutien du Ministère de la culture- DRAC GrandEst- et de la Direction de la culture de la Région GrandEst
Né en 1949 à Auschel (Pas de calais), Pierre BRASME a mené de pair une carrière d'enseignant et la
présidence de Sociétés historiques, vice -président de l'Académie nationale de Metz, auteur d'une trentaine d'ouvrages historiques, Pierre Brasme s'engage dans le roman avec « Dernier seigneur » chez La Valette : un hommage bienvenu, délicat et poignant aux librairies indépendantes.
Texte qui révèle la personnalité de Zrínyi, véhément dans sa harangue aux Hongrois inconscients du danger imminent, comme drogués par la paix turque, l'opium turc ; incisif dans son pamphlet de l'aristocratie, futile et dégénérée ; évocateur nostalgique des temps mythiques et du siècle du roi Mathias ; convaincant dans son projet d'armée nationale issue du peuple, supérieure aux troupes de mercenaires étrangers, seule à pouvoir, par son esprit patriotique, apporter un remède à l'occupation turque.
Dans cet ouvrage, l'auteur revient sur sa vie, les traumatismes depuis son enfance, la complexité des rapports familiaux qui peuvent conduire de l'amour à la haine, l'absence du père et son décès appris par hasard. Il expose sa vérité, ses réflexions. La résilience est le but ultime. « Mon père, cet inconnu », postfacé par un psychologue, est une tentative de compréhension, mais aussi de pardon, afin d'apaiser une souffrance lancinante...
Ces dix histoires s'articulent autour du thème du secret. Chaque personnage en filigrane a rendez-vous avec son destin. La nostalgie en conduit quelques-uns à se retourner et perdre la liberté d'espérer. Le secret peut à la fois libérer mais aussi enfermer celui qui le porte. Seul le courage de vivre malgré tout, conduit certains personnages à se réaliser. Le délivrer, c'est s'affranchir, s'alléger pour continuer le chemin. Une situation reste mystérieuse tant qu'on ne l'a pas résolue, mais ça ne veut pas dire pour autant qu'elle est forcément cachée. Elle peut même s'étaler au grand jour, mais personne ne la voit.
Roselyne Cusset a toujours écrit sans oser proposer ses histoires dont beaucoup dormaient dans des carnets à spirales. C'est tardivement qu'elle a franchi le pas pour se faire éditer. Parallèlement elle s'est adonnée à de nombreuses passions comme la culture japonaise, la danse et la photographie. Elle a enseigné le yoga et a travaillé dans la communication et le journalisme. Aujourd'hui installée dans le sud de la France elle explore d'autres formes d'expressions artistiques.
Jean-Girard, nouvel enseignant, entretient une correspondance assidue avec une énigmatique amoureuse. Une amie de Sorbonne le déniaise et Sandrine le présente à sa famille dans un château des bords de Seine, où la conversation va bon train ; mais la mort du maître des lieux et son enterrement traduisent le vaudeville en drame tragique. L'entremêlement des noms, des personnages, des couches sociales ainsi que les fractures stylistiques figurent la confusion d'un monde voué à l'extinction.