Citations sur voltaire

Autant que mes regards au loin peuvent s'étendre

Si personne ne sait quand les hommes commencèrent à se faire des idoles, on sait qu'elles sont de l'antiquité la plus haute

Une ombre de respect pour son saint ministère Peut-être adoucira ces vainqueurs forcenés

Le sérail à ma voix pourra-t-il se rouvrir ?

Contre un siècle indévot plein d'une sainte rage, Tu cours chez ta béate, à son cinquième étage

Il changera de moeurs en changeant de fortune

Les peuples étaient de couleur cendrée au septentrion

Mon cher et respectable ami, comment donc sont faits les grands hommes, si celui-là [le roi de Prusse] n'en est pas un ?

Vitruve, qui avait voyagé en Gaule et en Espagne, dit qu'encore de son temps les maisons étaient bâties d'une espèce de torchis, couvertes de chaume ou de bardeau de chêne, et que les peuples n'avaient pas l'usage des tuiles

Les docteurs en mangèrent [des brochets], soit oeuvés, soit laités

Je l'épouse, et pour dot je lui donne le monde

Henri II donna deux édits par lesquels il assura une pleine franchise à ses sujets ; les deux Bourgognes ne se ressentirent pas encore de ces magnanimités

Bellone va réduire en cendres Les courtines de Philipsbourg

Il ne me reste plus qu'à répondre à vos semonces d'écrire à M. le duc d'Albe

Ces chaumes, ces déserts, où des pompes des rois Je vous vis descendue aux plus humbles emplois

Elle [Anne d'Autriche] entendait de tous côtés ces chansons et ces vaudevilles, monuments de plaisanterie et de malignité, qui semblaient devoir éterniser le doute où l'on affectait d'être de sa vertu

Vous serez révolté de voir subir des refus, parce qu'on essuye un refus, et qu'on subit une peine ; subir un refus est un barbarisme

J'ai cent vingt arpents labourables dans le plus beau pays de la nature et le sol le plus ingrat

J'honore, je chéris ces charitables lois, Ces lois qui, de la terre écartant les misères, Des humains attendris font un peuple de frères

Égisthe est informé de la mort de son fils

Un de ces infortunés jeunes gens qui méritait d'être six mois à Saint-Lazare, et qui a été condamné au plus horrible supplice pour une mièvreté

Les Guyon, les Gauchat, les Chaumeix en seront peut-être fâchés ; mais je ne peux qu'y faire

Je ne crois pas qu'on puisse faire à un homme une injure plus atroce que de l'appeler persécuteur

Tout animal est toujours entraîné par un instinct invincible à tout ce qui peut tendre à sa conservation

Il n'y a que le faible qui trompe ; le vrai politique est celui qui joue bien et qui gagne à la longue ; le mauvais politique est celui qui ne sait que filer la carte, et qui tôt ou tard est reconnu