Citations sur amyot

Martius, seul, ne se monstra onques étonné ny ravalé de courage

Les premieres filles qui furent rendues et vouées à cette religion [vestales] par Numa furent Gegania et Verenia

Il envoya ceulx de ses gens qui estoient armez à la legere pour harceler les barbares

Ceste trace de sillon est le circuit que doit avoir la muraille

Il ne le cedoit en bonté d'entendement à nul d'eulx

Le chartier ne laissa pas pour ses prieres de chasser les chevaux, de maniere que les autres enfants se fendirent pour le laisser passer

Ô meschans et desloyaux hommes, les plus qui naquirent onques en Macedoine

Martius, avec un ton de voix forte et un visage rebarbatif, monstra une asseurance approchante du mespris et de contemnement

Celle nuict on dict que le mesme fantosme qui s'estoit desjà une fois apparu à Brutus, se representa derechef à luy

Cestuy Thalès avoit bruit d'estre poëte lyrique, et prenoit le tiltre de cest art là

Il sera fidele courtier et ministre de quelques folles amourettes

Les neges et glaces qui se fondent adonc

L'autre se sentant ainsi mordre lascha incontinent sa prise

Il commencea à se doubter de la verité

Ils s'entrejetterent force oeillades

En tous les repeuplemens de villes, dont il fut autheur, il y envoya tousjours d'autres commissaires ausquelz il en feit deleguer la charge

Et qui plus est, l'effect respondoit aux paroles de la proclamation

Il vouloit rendre venal le souverain magistrat

Si luy monstra incontinent le besoing la grande faute qu'il avoit faitte de laisser derriere son artillerie

Si y eut un de ceulx que l'on avoit condemnez, beau jeune enfant, qui fut emmené en une petite chambrette par l'un des plus grands garsons

Il tonnoit, il esclairoit en harenguant, et il portoit sur sa langue une fouldre terrible

Ceste parole estoit plus tost un reproche de trahison que un record de grace receue

L'on faisoit passer les edicts avec le feu et l'espée, dont on forçoit les contredisans

Des combattants bien aguerriz et adroicts aux armes

Il commencea à user d'une franchise de parler, qui de soy-mesme est odieuse