Citations sur malh.

La Discorde aux crins de couleuvres, Peste fatale aux potentats, Ne finit ses tragiques oeuvres Qu'en la fin même des États

Et ne tarderont ses conquêtes [du fils d'Henri IV], Qu'autant que le premier coton Qui de jeunesse est le message, Tardera d'être en son visage Et de faire ombre à son menton

Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir

Et qui peut nier qu'après Dieu sa gloire.... n'ait mérité.... Qu'on lui donne le second lieu ?

De quels jours assez longs peut-il borner sa vie, Que notre affection ne les trouve trop courts ?

Que si je ne sais combien de villettes et de bourgades s'étaient rendues à lui, il n'en avait tiré ni otages ni aucune autre assurance

La moisson de nos champs lassera nos faucilles

L'honneur leur appartient d'avoir ouvert la porte à quiconque osera, d'une âme belle et forte, Pour vivre dans le ciel, en la terre mourir

[Gens] qui opinent de nos biens et de nos vies et qui en ont la juridiction

Tantôt je me la vois d'un pirate ravie

On avait peur que, lui étant mort une fille de la petite vérole, il n'apportât le mal au Louvre ; aussi il s'en est allé, ou s'éventer, ou digérer sa douleur

Un autre disait qu'il n'y avait point de doute qu'un si grand nombre d'hommes ne fût suffisant à mettre toute la Grèce dans terre

Ceux qui ne sont pas encore arrivés à la sagesse, mais sont logés aux faubourgs

Je me signai audit mariage

Je demeure en danger que l'âme, qui est née Pour ne mourir jamais, meure éternellement

Ces enfants bien heureux.... Ayant Dieu dans le coeur, ne le purent louer

Si quelqu'un, d'aventure, en délices abonde

Sa lumière [du soleil] pâlit, sa couronne se cache ; Aussi n'en veut-il pas, cependant qu'on attache à celui [Jésus] qui l'a fait des épines au front

À l'est, la rivière sert de clôture à notre jardin.... Beaux jardins qui dans votre clôture Avez toujours des fleurs

À la volée et sans s'informer des choses que superficiairement

La suite de nos cupidités est comme celle des causes, de qui les stoïciens tiennent que les destins sont enfilés

Qui ne sait de quelles tempêtes Leur fatale main autrefois, Portant la foudre de nos rois, Des Alpes a battu les têtes ?

L'or de cet âge vieil où régnait l'innocence

Le repos d'esprit que donne à ceux qui sont innocents le témoignage de la conscience

Artémise de pleurs se noya le visage