Citations sur ib.

Les maistres du mestier et artifice de boulengerie et taillemellerie

Personnes de divers artifices, comme sont un medecin et un laboureur de terres

Autrefois les législateurs regardaient la musique comme une partie essentielle de l'éducation ; les philosophes ne la regardent presque plus aujourd'hui que comme un amusement honnête

Une belle pomme de must, qui se euvre par le milieu

Représentez-vous un homme né dans les richesses, mais qu'il a dissipées par ses profusions ; il ne peut souffrir la pauvreté, ces murailles nues, cette table dégarnie

Vos males mules !

La mer, mugissant, ressemblait à une personne qui, ayant été longtemps irritée, n'a plus qu'un reste de trouble et d'émotion, étant lasse de se mettre en fureur

Merci, que le prince de Condé et le vigilant Turenne n'ont jamais surpris dans un mouvement irrégulier

Elle [la géométrie] ne peut définir ni le mouvement, ni les nombres, ni l'espace ; et cependant ces trois choses sont celles qu'elle considère particulièrement

Toujours [il] le arroguoit de ses dures et arrogans paroles

Lequel arrogoit le sup - pliant de paroles injurieuses

Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots

Quand ce grand Dieu a choisi quelqu'un pour être l'instrument de ses desseins, rien n'en arrête le cours

Certains hommes d'armes, poisamment et malayséement armez

Se aucun est atteint de teles querelles contre chevaliers, il leur doit amender par ploines armes, ce est par le cheval et par le hauberc, par l'escu et par l'espée et par le haume

Et si vous pri qu'en guerdon de mon service me doigniés armes et me fetes chevalier

.... je veux, en un mot, Employer comme il faut le plus sublime argot

Aians rempli les vignes et les ardoizieres de leur infanterie

Elle dit en riant : agardez quel oisel

Agarde ce larron meurtrier prouvé, comment il parle

Les premières ardeurs d'une conversion d'éclat

Nostre Seigneur fit miracle en conversion d'eaue en vin es nopces d'architriclin

À ceste heure fays bien à poinct l'arbre fourchu, les piedz à mont, la teste en bas

Quant les suppliants laissoient leur areau

Car qui sa main met à l'arere, S'arriere lui regarde un pas, Du regne Dieu digne n'est pas