Citations sur voltaire

Du monstre impénétrable [le sphinx] affronter le courroux

Quand on répète ce qu'on a déjà dit, c'est une preuve qu'on n'a rien à dire

De ces lieux infernaux [des cachots] on nous laisse sortir, Sans que de notre sort on nous daigne avertir

J'attends l'encyclopède d'Alembert, avec son imagination et sa philosophie

Il a su qu'en ce monde on voit certains savants Qui sont, ainsi que vous, de fieffés ignorants

C'est là leur diadème [des fleurs] ; ils en font plus de compte Que d'un cercle à fleurons de marquis ou de comte, Et des larges mortiers à grands bords abattus

Les Crétois avaient une dévotion particulière à Jupiter, et ne s'intitulaient point jupitériens

Un château très logeable que je viens de faire bâtir

D'indignes assassins, Des piéges de la mort ont semé les chemins

Je me prosterne.... devant votre esprit aussi sensé que gai.... qui sait très bien que la vie n'est qu'un pèlerinage qu'il faut semer de coquilles et de fleurs

Ce discours [de Pierre le Grand], s'il est authentique, est un morceau très précieux

Et moi je suis réellement capucin ; j'en ai la patente avec le portrait de saint François tiré sur l'original

Cependant l'armée [de France] se fondait peu à peu

Nous ancrâmes, nous descendîmes

Renversa, détruisit jusqu'en leurs fondements Ces murs que du soleil ont bâtis les enfants

J'associai ma vie à ses travaux immenses

Mais, dis, sens-tu ce trouble, et ce secret murmure Qu'un préjugé vulgaire impute à la nature ?

Hors Céthégus et toi, dignes de mon estime, Le reste est un amas élevé dans le crime

Vieillards, femmes, enfants, trou peau faible et timide Dont n'a point approché cette guerre homicide

Un homme qui avait quelque sens et qui raisonnait tolérablement sur d'autres sujets

S'il est des dieux cruels, il est des dieux propices

Collins, magistrat de Londres, auteur du livre de la liberté de penser et de plusieurs autres ouvrages aussi hardis que philosophiques

Moi de ce fanatique [Mahomet] encenser les prestiges !

On dit que Lekain a joué à Fontainebleau plus en goujat qu'en Tartare [dans l'Orphelin de la Chine], qu'il n'est ni noble, ni amoureux, ni terrible, ni tendre, et que Sarrazin a l'air d'un vieux sacristain de pagode

On rechercha sa conduite, on trouva qu'il avait fait de la fausse monnaie dans ses terres