Citations sur voltaire

Le tyran règle tout ; il semble qu'il apprête L'appareil du carnage et non pas d'une fête

Tous les coeurs des Romains.... Dans ces solemnités volent devant Titus

J'ai fait le bailli [dans le Droit du seigneur], et, ne vous déplaise, à faire pouffer de rire

J'ai en France soixante mille livres de rente

Qui loue tout n'est qu'un flatteur : celui-là seul sait louer qui loue avec restriction

Leur insensible pente [des Alpes] Vous conduit par degrés à ces monts sourcilleux Qui pressent les enfers et qui fendent les cieux

L'opinion publique, la créance de tous les ligueurs était qu'il fallait tuer son roi, s'il était mal avec la cour de Rome

Ne rougissez-vous pas d'accabler ma misère ?

Des milliers d'Américains servaient aux Espagnols de bêtes de somme, et on les tuait quand leur lassitude les empêchait de marcher

Sous l'horrible appareil de sa fausse justice Un tribunal de sang te condamne au supplice

Des moines de Cîteaux, assez puissants pour fournir aux frais de la défense de la ville de Calatrava [contre les musulmans], armèrent leurs frères convers avec plusieurs écuyers qui combattirent en portant le scapulaire

À rechercher le vrai j'ai consumé la vie

J'ai traversé les vastes campagnes de la Westphalie.... dans de grandes huttes qu'on appelle maisons on voit des animaux qu'on appelle hommes, qui vivent le plus cordialement du monde pêle-mêle avec d'autres animaux domestiques

Des gens qui ont fait des systèmes sur la communication de Dieu avec l'homme ont dit que Dieu agit immédiatement, physiquement, sur l'homme en certains cas seulement, lorsque Dieu accorde certains dons particuliers, et ils ont appelé cette action prémotion physique

Tyrans que j'ai vaincus, je pourrais vous servir ! Peuples que j'ai sauvés, je pourrais vous trahir !

Les jansénistes s'affermirent par la persécution

Si j'avais un conseil à vous donner, ce serait de modérer l'ancien prix établi à Genève

Il y a des vieillards doucereux, circonspects, pleins de ménagements, comme s'ils avaient leur fortune à faire

Ô Velches, mes compatriotes....

Il fallait courir quatre lances ; ceux qui seraient assez heureux pour vaincre quatre chevaliers....

Et si, dans ma patrie ingrate, Tu rencontres quelque Socrate, Tu trouveras vingt Anitus

Mlle Catherine Vadé assure que son cousin Antoine pensait que les Velches étaient les ennemis de la raison et du mérite, les fanatiques, les sots, les intolérants, les persécuteurs et les calomniateurs ; que les philosophes, la bonne compagnie, les véritables gens de lettres étaient les Français

L'admission de M. Diderot à l'Académie ne me paraît pas du tout impossible ; mais, si elle est impossible, il la faut tenter

Il parait probable que nous avons la liberté d'indifférence dans les choses indifférentes ; car qui pourra dire que Dieu ne nous a pas fait ou n'a pas pu nous faire ce présent ?

Je prends la liberté de lui écrire quatre mots ; car il ne faut pas de verbiage pour les hommes en place