Citations sur voltaire

Les périls menacent, les obstacles s'opposent

Mais ceux dont les États entourent mes confins, Ou sont mes ennemis, ou sont mes tributaires

Ces occupations sont satisfaisantes ; combien elles consolent de ces chiens de bureaux, de ces chiens de commis !

Les préceptes sont toujours venus après l'art ; Tisias fut le premier qui recueillit les lois de l'éloquence, dont la nature donne les premières règles

La tolérance sera regardée dans quelques années comme un baume essentiel au genre humain

Parlez, quel est le sang que nous devons verser ?

C'est [Mlle Corneille] la naïveté, l'enfance, la vérité, la vertu même

Les esprits animaux se filtrent dans le cervelet

Je viens après mille ans changer ces lois grossières

Pourvu qu'on y croie en Dieu [dans l'Amérique anglaise], toute religion est bien reçue ; moyennant quoi, le commerce fleurit et la population augmente

La cessation de presque tout le commerce qui ne se fait plus que par des contrebandiers

Les bergers pleins d'effroi dans les bois se cachèrent, Et leurs tristes moitiés, compagnes de leurs pas, Emportent leurs enfants gémissants dans leurs bras

Puisqu'il faut traiter avec les hommes, j'aime à traiter avec ceux qui trompent le moins

Comme un chêne est le confrère d'un roseau, le roseau, en levant sa petite tête, dit au chêne : Ceux de Dodone n'ont jamais mieux parlé

Jamais commerce ne fut plus avantageux aux Portugais que celui du Japon ; ils en rapportaient, à ce que disent les Hollandais, trois cents tonnes d'or chaque année, et on sait que cent mille florins sont ce que les Hollandais appellent une tonne ; c'est beaucoup exagérer

Vous êtes consterné, mon âme est confondue

Il [Ruyter] avait commencé par être valet et mousse de vaisseau ; il n'en fut que plus respectable

On damasquinait [sous Charlemagne] le fer, on fabriquait le verre

S'il veut débrouiller l'antiquité de sa noblesse qui remonte aux temps les plus reculés, il enverra chercher un bénédictin

Égisthe est informé de la mort de son fils

Bientôt il s'apprête à mériter son trône en marchant à leur tête

Ses yeux, remplis d'un feu sombre, roulaient avec égarement, sa bouche se tordait

Et, tirant sa montre à laquelle pendait galamment une petite boussole, il lui fit voir que c'était avec une aiguille qu'on était arrivé dans un autre hémisphère

Il y a des monstres qui mériteraient d'être décimés

Ils [les Juifs] pensèrent, comme presque toutes les autres nations, que l'âme est quelque chose de délié, d'aérien, une substance légère, qui retenait quelque apparence du corps qu'elle avait animé ; c'est ce qu'on appelait les ombres, les mânes des corps