Citations sur voltaire

Le premier régiment qui eut des baïonnettes fut celui des fusiliers

Nous ne vivons que deux moments, Qu'il en soit un pour la sagesse

Je vous avoue que je bats des mains, quand je vois que la justice n'est plus vénale

La superbe Carthage n'était point encore un port de mer ; il n'y avait là que quelques Numides qui faisaient sécher des poissons au soleil

C'est un petit cheval qui, au moindre coup d'éperon, vous court au grand galop

Je vous avoue que je ne suis guère en train à présent de rapetasser une tragédie amoureuse, et que le czar Pierre a un peu la préférence

Je m'acquitte en tremblant de cet affreux devoir

Autant que mes regards au loin peuvent s'étendre

L'Église gallicane approuve le concile de Constance, qui déclare les conciles généraux supérieurs au pape dans le spirituel

Personne ne doute que des anatomies en cire colorée ne soient des ouvrages d'habiles artistes

Le czar partageait avec Charles XII la gloire de dominer en Pologne

Vous ne voudrez jamais, abusant de mon âge...

Ce peuple mou, volage et facile à fléchir

Vous n'avez jamais eu qu'une passion véritable, celle de faire du bien ; tout le reste n'a été que passades

L'intérêt est ton dieu, le mien est l'équité ; Entre ces ennemis il n'est point de traité

Si on avait laissé jouer la pièce de Palissot sans se plaindre, elle n'aurait pas eu trois représentations ; Jérôme Carré a été plus madré, il ne s'est point plaint, et il a fait rire

Cet astre si brillant, si longtemps respecté, Penche vers son déclin, sans force et sans clarté

Qu'a servi contre Bayle une infâme cabale ? Par le fougueux Jurieu Bayle persécuté Sera des bons esprits à jamais respecté

C'est une petite singularité que la renaissance du théâtre et l'observation des règles aient commencé en Italie et en France par une Sophonisbe

Ce Dieu a détaché [à ces peuples] des lions, et voilà que ces lions les tuent

Je préférai toujours à ce mérite faux des politesses vaines La grossière vertu des moeurs républicaines

Trois autres faux Démétrius s'élevèrent l'un après l'autre ; cette suite d'impostures supposait un pays tout en désordre

Seigneur, vous serez roi dès que vous voudrez l'être

On les forçait [les cultivateurs du pays de Gex] à travailler sans salaire, eux qui ne vivent que de leur salaire

Chaque État eut, avec le temps, sa divinité tutélaire, sans savoir seulement ce que c'est qu'un dieu, et sans pouvoir imaginer que l'État voisin n'eût pas, comme lui, un protecteur véritable