Citations sur amyot

Estant ainsi devenu de prince populaire tyran violent, il en fut estimé non seulement rude et rigoureux, mais, qui pis est, deloyal et ingrat

Une risée, un clin d'oeil, un hochement de teste, mettent plusieurs en cholere

Il defendit toutes assemblées de festins, mommeries et toutes autres telles joyeusetez, qui lors estoient hors de saison

Il lui fut advis qu'une lyce asprement courroucée abbayoit contre lui, et que parmi son abboi elle jettoit une parole humaine

Leur commandant que chascun feist un feston d'espics de bled, et qu'ilz en entortillassent des festons et liasses à l'entour de leurs bastons

Ils se baiserent les uns les autres, de maniere que tout le camp se trouva plein de caresses et de larmes très doulces et espraintes à force de joye

Le voulant rendre suspect, et le prevenir par ceste calumnieuse presumption

Ils vendoient à l'encan les biens de ceulx qu'ilz avoient proscripts en defraudant calumnieusement les pauvres veufves et leurs pauvres enfans orphelins

Et y avoit des sergens tenans des bastons en leurs mains, pour faire retirer la presse

Ils appelloient Antonius en leurs cantiques Bacchus pere de liesse, doulx et bening

Ils continuerent à occire tous ceux à qui Marius ne rendoit point de salut

Et qu'il soit vrai que Martius fust ainsi alors affectionné, il le monstra bien tanstost après evidemment par ses effets

En plein jour et devant sa fille, il avoit trop amoureusement baisé sa femme

Ce qu'il mettoit en avant estoit dommageable au public

Si d'aventure tu te rends et es las de plus tenter la fortune, aussi suis-je quant à moy las de plus vivre

Vous voyez comme en un moment d'heure nous avons abattu et mis sous noz piedz la maison d'Alexandre le Grand

Qu'ilz n'avoient que veoir sur la ville d'Argos, et qu'ilz la laissassent neutre et amie de tous les deux

Je vous supplie et conjure, que vous me tuez vous mesme en ce lieu

Et leur commanderent qu'ilz s'en courrussent le plus roide qu'ilz pourroient vers Megares

Il commencea à user d'une franchise de parler, qui de soy-mesme est odieuse

Il y en a qui insisteront à l'encontre, en soustenant que cette lecture ne sçauroit que bien peu servir

La lecture des livres qui apportent seulement une vaine et oiseuse delectation aux lisans, est à bon droict reprouvée

Quant à moy, je ne suis pas deliberée d'attendre que la fortune, moy vivante, decide l'issue de ceste guerre

Au partir de là, comme ses familiers se rissent ensemble et se moquassent de luy, il leur dit....

Les superfluitez et delices ioniques