Citations sur moliere

Je traiterai monsieur méthodiquement et dans toutes les régularités de notre art

Ouais ! il semble qu'ils sortent mal satisfaits d'ici

Et quelle force il faut aux objets mis en place, Que l'approche distingue, et le lointain efface

La mienne, quoique aux yeux elle n'est pas si forte

Résolûment, par force ou par amour, je veux savoir de toi, traître, Ce que tu fais, d'où tu viens avant jour

Fi ! ne me parlez point, pour être vrais amants.... De ces tièdes galants, de qui les coeurs paisibles Tiennent déjà pour eux les choses infaillibles

C'est une fille de ma mère nourrice que j'ai mise à la chambre, et elle est toute neuve encore

On ne s'avise point de dé fendre [empêcher, prohiber] la médecine pour avoir été bannie de Rome, ni la philosophie pour avoir été condamnée publiquement dans Athènes

Il semble à trois gredins dans leur petit cerveau, Que, pour être imprimés et reliés en veau, Avec leur plume ils font les destins des couronnes

Le hasard a fait ce que la prudence des pères avait délibéré

M'as-tu de tes gros yeux assez considéré ? Comme il les écarquille et paraît effaré !

Je veux ce soir lui donner pour époux un homme aussi riche que sage ; et la coquine me dit au nez qu'elle se moque de le prendre

Où est le truchement, pour lui dire qui vous êtes, et lui faire entendre ce que vous dites ? vous verrez qu'il vous répondra ; et il parle turc à merveille

La bassesse de ma fortune, dont il plaît au ciel de rabattre l'ambition de mon amour

Je voudrais bien qu'on fît de la coquetterie Comme de la guipure et de la broderie

La Nuit, qu'il me faut avertir, N'a plus qu'à plier tous ses voiles

Vous êtes dans une humeur désobligeante

Et j'ai prédit cent fois à mon fils votre père, Que vous preniez tout l'air d'un méchant garnement

Je veux la retâter sur ce fâcheux mystère

Ô fâcheux examen d'un mystère fatal Où l'examinateur souffre seul tout le mal

Il affecte quelquefois de paraître ignorant, tient sa science renfermée

Mais si mon coeur encor revoulait sa prison

Un jeune homme bien fait, qui, rencontrant ma vue, D'une humble révérence aussitôt me salue : Moi, pour ne point manquer à la civilité, Je fis la révérence aussi de mon côté

On pourra encore supprimer à, du moins en poésie, quand la phrase est longue, comme ici : Pour de l'esprit, j'en ai, sans doute, et du bon goût à juger sans étude et raisonner de tout, à faire aux nouveautés, dont je suis idolâtre, Figure de savant sur les bancs d'un théâtre, Y décider en chef et faire du fracas à tous les bons endroits qui méritent des ah !

Je ne me suis point mariée avec toi pour souffrir tes fredaines !