Citations sur moliere

Si l'essence du bien est mise dans l'appétibilité....

Me voilà bien chanceuse ! hélas ! l'on dit bien vrai : Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage, Et service d'autrui n'est pas un héritage

Voici une comédie dont on a fait beaucoup de bruit, qui a été longtemps persécutée ; et les gens qu'elle joue ont bien fait voir qu'ils étaient plus puissants en France que tous ceux que j'ai joués jusqu'ici

Je me trompe fort, ou la beauté de ce diamant fera pour vous sur son esprit un effet admirable

Voici des gens bien pleins de cérémonie

Je vous constitue pendant le souper au gouvernement des bouteilles

Et mon fils à l'aimer vous devrait tous induire

Oui moi, non pas le moi d'ici, Mais le moi du logis qui frappe comme quatre

Ces dragons de vertu, ces honnêtes diablesses, Se retranchent toujours sur leurs sages prouesses

Mon Dieu ! que votre esprit est d'un étage bas !

Je dois aux yeux d'Alcmène un portrait militaire Du grand combat qui met nos ennemis à bas ; Mais comment diantre le faire Si je ne m'y trouvai pas ?

Vous êtes le seul sage et le seul éclairé, Un oracle, un Caton, dans le siècle où nous sommes

Vous le saurez quand il en sera temps

Mais il est aux enfers des chaudières bouillantes Où l'on plonge à jamais les femmes mal vivantes

Je m'en vais réparer l'erreur que j'ai commise, Et, dès ce même pas, rompre mon entreprise

Que faites-vous dehors, et quel soin vous talonne, Vous à qui je défends de parler à personne ?

Je vis de bonne soupe et non de beau langage ; Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage

Oh ! trois ou quatre fois béni soit cet édit Par qui des vêtements le luxe est interdit

Vous pourriez bien ici sur votre noir jupon, Monsieur l'huissier à verge, attirer le bâton

Il y en a beaucoup que le trop d'esprit gâte..., et qui seraient bien fâchés d'être de l'avis des autres, pour avoir la gloire de tout décider

Sera-t-il assez osé pour dire.... Il n'y a point de maladie si osée que de se jouer à la personne d'un médecin

Comme je sais que vous n'êtes jamais venu en ce pays, et que vous y êtes tout neuf, je suis bien aise de vous avoir trouvé, pour vous offrir mon service à cette arrivée

Souvenez-vous.... Que c'est être à demi ce que l'on vient de dire, Que de vouloir jurer qu'on ne le sera pas

Vous voilà tous pourvus ; n'est-il point quelque fille Qui pût accommoder le pauvre Mascarille ?

Oui, toute mon amie, elle est, et je la nomme Indigne d'asservir le coeur d'un galant homme