Citations sur chateaubriand

Au roulement des tambours drapés, des grenadiers portaient le corps de leur vaillant capitaine

C'est la religion qui détermine la catastrophe [dans Paul et Virginie]

On retrouve ici quelques traces du culte touchant des lares

L'amitié que la présence attiédit, que l'absence efface

Atala fit ma première compresse qu'elle attacha avec une boucle de ses cheveux

Une ombre implorante et implorée

Et le voir en ces lacs pris avant que je parte

[Dans les catacombes] Anciens calices, anciennes croix, anciennes cuillers pour administrer la communion

Agamemnon déclare brutalement qu'il aime autant Briséis que son épouse parce qu'elle fait d'aussi beaux ouvrages

Un autre [sauvage] ne veut pas que l'affaire soit décidée [le coup décisif aux osselets], avant qu'il ait jeté un morceau de petun dans le fleuve

De gros caïeux de lis paraissaient à la surface de la terre

Nous demandons des sourires au berceau et des pleurs à la tombe

La Trinité ouvre un champ immense d'études philosophiques

L'écorchement des castors se fait en commun après la chasse

Il n'y avait si pauvre banni qui ne dessinât les tortillons d'un jardin anglais dans les dix pieds de terre ou de cour qu'il avait retrouvés

La Providence a attaché les pieds de chaque homme à son sol natal par un aimant invincible

Neuf fois ce vaisseau [l'Église] qui ne doit point périr était échappé au naufrage

On voyait un arbre mort que le fer avait dépouillé de son écorce ; cette espèce de fantôme se faisait distinguer par sa pâleur au milieu des noirs enfoncements de la forêt

Avant Jésus-Christ, l'âme de l'homme était un chaos

Le gladiateur, commis à l'introduction des martyrs, n'avait pas d'ordres pour cette victime [Cymodocée]

Les moments que les frères et les soeurs passent réunis sous l'aile de leurs vieux parents

Sur la terre, les rochers laissèrent tomber des cataractes

Les naïades du ruisseau plantent autour d'elle [la poule d'eau] leurs quenouilles de roseau, chargées d'une laine empourprée

Mon désappointement politique me donna sans doute l'humeur qui me fit écrire la note satirique contre les quakers

Ouvre-moi ton coeur, ô ma beauté ! cela fait tant de bien