Citations sur flÉch.

M. de Montausier racontait que ses pères avaient toujours été fidèles serviteurs des rois leurs maîtres, mais qu'ils n'avaient pas été leurs flatteurs

Que si la faute d'un domestique.... avait comme arraché d'une bouche si sage et si circonspecte une parole plutôt sévère que fâcheuse, quel soin ne prenait-elle pas d'adoucir et de guérir la plaie qu'elle avait faite ?

Animés plus abondamment de son esprit [on parle de Dieu]

Ces âmes oisives qui n'apportent d'autre préparation à leurs charges que celle de les avoir désirées ; qui mettent leur gloire à les acquérir, non pas à les exercer....

Tout l'appareil de la mort ne fit que redoubler le zèle et la componction de Mme la Dauphine

Et ne voulut, pour monter à ses emplois, d'autres degrés que ses vertus

Renonçant aux sentiments les plus naturels des amitiés et des bienséances humaines

Ces hommes, qui, selon le langage de l'apôtre, blasphèment tout ce qu'ils ignorent

Une si heureuse naissance la rendit d'abord la passion de tout ce qu'il y avait de vertueux

Depuis cette défaite [des barbares], les troupes se crurent invincibles sous Théodose

Il [M. de Montausier] n'eut pas besoin de réparer, sur ses vieux ans, les torts qu'il avait faits en sa jeunesse

On méprise ceux qui ne font pas les austérités

On veut accommoder tout le monde à soi

L'un pèche avec connaissance et il est plus inexcusable

Quelle marque donne le Saint-Esprit de la justice et de l'innocence d'un homme de bien ? c'est de n'avoir pas reçu favorablement l'opprobre et la médisance contre ses frères

Il allume le zèle des docteurs

Il fallait opposer à tant d'ennemis un homme d'un courage ferme et assuré, d'une capacité étendue...

N'apprendra-t-il pas dans la cour au moins un peu de complaisance ?

Voyant, au travers des défauts de l'humeur et de l'esprit de ceux que Dieu souffrait dans ses ministères, l'honneur de leur vocation et la dignité de leur sacerdoce

Qui pourrait exprimer la joie que ressentait Mme de Montausier, lorsqu'elle voyait croître les bonnes habitudes du jeune prince [le Dauphin], et germer ces précieuses semences de gloire et de vertu qu'elle avait jetées avec tant de soin dans son coeur ?

Qu'il y ait dans nos paroles un assaisonnement de grâce et de sel

C'est lui [un ministre] qui reçoit les voeux, qui écoute les plaintes, qui examine les nécessités, qui pèse les services....

Il ne laissa passer aucune semaine sans rallumer sa ferveur par l'usage des sacrements

Ne pensez pas à cette vaine et fastueuse religion qui se répand toute au dehors, et qui n'a que le corps et la superficie des bonnes oeuvres

La grâce ouvre les yeux de cet incrédule ; il reconnaît son orgueil, son irrévérence, son obstination