Citations sur beaumarch.

Ceci doit vous apprendre à ne jamais ouvrir de jalousies sur la rue

. Qu'avez-vous fait [vous, comte] pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus

Je suis un peu déformé depuis ce temps-là [depuis ma première jeunesse]

Elle [la calomnie] s'élance, étend son vol, tourbillonne

Boire sans soif et faire l'amour en tout temps....

Tâcher d'ennoblir la pauvreté des moyens par l'importance des objets : voilà toute la politique, ou je meure !

En me rendant ses soins qu'il appelle des visites, en me donnant ses conseils qu'il nomme des ordonnances, il [le médecin] remplit dignement et sans faste la plus noble fonction d'une âme éclairée et sensible

D'honneur, il sent la fièvre d'une lieue

Te voilà, Florestine ; je te trouve radieuse ; mais voyez donc comme elle est fraîche et belle

Il faut que votre sexe ait fait une étude bien réfléchie de l'art de se composer pour réussir à ce point

Qu'obtiendra donc de vous l'attachement, si vous payez ainsi la perfidie ?

Tandis que moi, morbleu ! perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer....

Doutez-vous de ma probité, monsieur ? vos cent écus ! j'aimerais mieux vous les devoir toute ma vie, que de les nier un seul instant

Ouf ! que ce diable d'homme est rude à manier !

Le comte : Les domestiques ici.... sont plus longs à s'habiller que les maîtres. - Figaro : C'est qu'ils n'ont point de valets pour les y aider

Dévoiler la honte d'un père, ce serait un crime

J'attends ici quelque chose ; et deux hommes qui jasent sont moins suspects qu'un seul qui se promène ; ayons l'air de jaser

J'eus la faiblesse de vous présenter en différents temps deux tristes drames ; production monstrueuse, comme on sait ; car, entre la tragédie et la comédie, on n'ignore plus qu'il n'existe rien

Ils m'ont sifflé ; mais si jamais je puis les rassembler !

C'est un beau gros, court, jeune vieillard, gris pommelé, rusé, rasé, blasé, qui guette et furète et gronde et geint tout à la fois

Donner le change aux petites passions de M. le comte, étriller rondement M. du Bazile

Aidant au bon temps, supportant le mauvais

Le paradis ou l'enfer des familles dépend à tout jamais de l'opinion qu'elles ont donnée d'elles

C'est un bon tour que de faire épouser ma vieille gouvernante au coquin qui fit enlever ma jeune maîtresse

Bartholo : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction copulative et, qui lie les membres corrélatifs de la phrase : je paierai la demoiselle, et je l'épouserai. - Figaro : Je soutiens, moi, que c'est la conjonction alternative ou, qui sépare lesdits membres : je paierai la donzelle, ou je l'épouserai