Citations sur beaumarch.

. Qu'avez-vous fait [vous, comte] pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître et rien de plus

J'eus la faiblesse de vous présenter en différents temps deux tristes drames ; production monstrueuse, comme on sait ; car, entre la tragédie et la comédie, on n'ignore plus qu'il n'existe rien

Tâcher d'ennoblir la pauvreté des moyens par l'importance des objets : voilà toute la politique, ou je meure !

Il allait me donner le trousseau ; la clé de la jalousie n'y est-elle pas ?

Grâce à l'Ariane Suzon, je tiens le fil du labyrinthe, et le Minotaure est cerné

Je vas, je viens, je toupille, et, sitôt que je m'assieds, mes pauvres jambes....

Ouf ! que ce diable d'homme est rude à manier !

Libertin par ennui, jaloux par vanité

Il y a un mauvais génie qui tourne tout ici contre moi

Vous ririez bien plus de l'auteur, s'il eût tiré deux vrais amis de l'Oeil-de-Boeuf [l'antichambre du roi, où se réunissaient les courtisans] ou des carrosses ; il faut un peu de vraisemblance, même dans les actes vertueux

Le comte : Rosine ! - La comtesse : Je ne la suis plus cette Rosine que vous avez tant poursuivie

On a vingt-quatre heures au palais pour maudire ses juges

Dans les cas difficiles à juger, une bourse d'or me paraît toujours un argument sans réplique

Il est aisé de voir que goddam est le fond de la langue

D'abord un bruit léger rasant le sol de la terre comme l'hirondelle avant l'orage

Quand j'aurai l'agrément du roi pour l'échange entamé de toutes mes terres d'Espagne contre des biens dans ce pays

Je vais rasant de ville en ville

Que de mensonges entassés pour cacher un seul fait !

Telle bouche le recueille [un bruit calomnieux], et piano, piano vous le glisse en l'oreille adroitement

Aidant au bon temps, supportant le mauvais

Grâce à l'Ariane Suzon, je tiens le fil du labyrinthe, et le Minotaure est cerné

Dévoiler la honte d'un père, ce serait un crime

Le comte : Sa probité ? - Figaro : Tout juste autant qu'il en faut pour n'être point pendu

Ah ! ouiche, on ne l'aura, vois-tu, qu'avec ma vie

Mon terme était échu ; je voyais de loin arriver l'affreux recors, la plume fichée dans sa perruque