Citations sur la bruy.

L'ascendant qu'on veut prendre sur son esprit

La finesse est l'occasion prochaine de la fourberie ; de l'une à l'autre le pas est glissant

L'on sait des gens qui avaient coulé leurs jours dans une union étroite....

Mille gens se ruinent au jeu, et vous disent froidement qu'ils ne sauraient se passer de jouer

Il lui quitte la main, et tourne d'un autre côté

Il mange haut et avec grand bruit, il roule les yeux en mangeant

Il est en haie quand ils [les ambassadeurs] reviennent de leur audience

Glycère se fait celer pour les femmes

Il ne manque à leur débauche que de boire de l'eau forte

L'on écrit régulièrement depuis vingt années ; l'on est esclave de la construction ; l'on a enrichi la langue de nouveaux mots

Où ils voient l'agréable, ils en excluent le solide

Quoi que j'aie pu dire ailleurs, peut-être que les affligés ont tort ; les hommes semblent être nés pour l'infortune

C'est une chose bien sérieuse que de mourir ; ce n'est point alors le badinage qui sied bien, mais la constance

Ce sont ceux que les grands et le vulgaire confondent avec les savants, et que les sages renvoient au pédantisme

La chose la plus prompte et qui se présente d'abord, c'est le refus, et l'on n'accorde que par réflexion

L'on voit des gens brusques, inquiets, suffisants, qui, bien qu'oisifs, et sans aucune affaire qui les appelle ailleurs, vous expédient, pour ainsi dire, en peu de paroles

Se marier par amourette

Et nous faire désirer au moins que Dieu existât, à qui nous pussions appeler du jugement des hommes

Certains particuliers, qui.... se moulent sur les princes pour leur garde-robe et pour leur équipage

Combien de filles à qui une grande beauté n'a jamais servi qu'à leur faire espérer une grande fortune

Quelques jeunes personnes ne connaissent point assez les avantages d'une heureuse nature, et combien il leur serait utile de s'y abandonner.... leur son de voix et leur démarche sont empruntés ; elles se composent, elles se recherchent, regardent dans un miroir si elles s'éloignent assez de leur naturel

Il peut haïr les hommes en général où il y a si peu de vertu ; mais il excuse les particuliers, il les aime même par des motifs plus relevés

Il y a le peuple qui est opposé aux grands, c'est la populace et la multitude ; il y a le peuple qui est opposé aux sages, aux habiles, aux vertueux, ce sont les grands comme les petits

Un seul [roi, Louis XIV], toujours bon et magnanime, ouvre ses bras à une famille malheureuse [les Stuarts] ; tous les autres se liguent comme pour se venger de lui

Après l'invective commune contre les honneurs, les richesses et le plaisir, le prédicateur....