Citations sur saurin

Mon ami, laissons là ma peine et mes alarmes ; Je vous vois, tout est oublié

Au roi que nous pleurons, il laissa la couronne ; Constance en est la soeur....

Une infinité de sots par nature se font méchants par air

La victoire l'épuise en le favorisant

Les miracles sont faits Pour qui veut fermement la mort ou le succès

Obligé de valoir, mon fils en vaudra mieux

Il voit deux légions nouvelles Qui pour l'environner développent leurs ailes

Laisse-moi ; de la nuit je chéris la noirceur ; Je voudrais en pouvoir redoubler les ténèbres

Nous [prédicateurs] que l'exercice de notre ministère appelle, s'il est permis d'ainsi dire, dans un monde de morts et de mourants.... il nous semble que nous devons épuiser toute la religion pour arracher au monde ceux qui nous écoutent

Spartacus ne fait point de la guerre un commerce

Un beau jour je quittai madame et ses gredins

Les yeux étincelants d'une barbare joie

Il garde en expirant une noble attitude

Une petite minaudière qui a la prétention du sentiment

En toi je n'ai pu voir avec tranquillité Tant d'héroïsme joint à tant d'humanité

Nature, tu frémis... terreur d'un autre monde, Abîme de l'éternité

Sur l'arène soudain on voit paraître un homme Dont la stature noble et la mâle beauté Alliaient la jeunesse avec la majesté

Le consul m'a chargé d'un autre ministère

Il y a même un duché dans sa maison qui pourrait lui tomber un jour

Je dispose l'attaque et le combat s'engage

Bienfaitrice à la fois et maîtresse du monde

La guerre est une loi de sang et de rigueur

Et d'un cri de menace, Défiant les Romains, qui se serrent, font face

Chargé de m'emparer d'une hauteur voisine Qui voit le camp romain, le serre et le domine

Eh ! qui peut prévenir tous les maux dont abonde La guerre en cruautés, en ruines féconde ?