Citations sur douleurs

Tout me pèse [au malade] et me lasse ; aide-moi, je me meurs ; Tourne-moi sur le flanc, ah ! j'expire ! ô douleurs !

Ah ! n'éprouvez jamais les douleurs de l'amour ; Elles hâtent encor nos fuseaux si rapides

C'est son bien dissipé, c'est son fils, c'est sa femme, Ou les douleurs du corps si pesantes à l'âme

C'est là qu'un plus beau ciel peut-être dans mes flancs Éteindra les douleurs et les sables brulants

Ou les douleurs du corps si pesantes à l'âme

C'est son bien dissipé [du vieillard], c'est son fils, c'est sa femme, Ou les douleurs du corps si pesantes à l'âme

Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleurs ?... Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, Est-ce toi qui l'as dit ?

Loin de moi les vains mots, les frivoles pensées, Des vulgaires douleurs linceul accoutumé, Que viennent étaler sur leurs amours passées Ceux qui n'ont point aimé !

Ainsi estans ces douleurs et desplaisirs domestiques conjoincts avec les publiques

Ces biens me sont tournez en griefves douleurs et calamitez, où je ne puis remedier

Si tumba incontinent Statira malade de la maladie dont elle mourut avec griefves douleurs et aspres torsions et trenchées es parties interieures

En cette belle société, les douleurs se partagent et les joies se doublent

Combien la nature est féconde En plaisirs ainsi qu'en douleurs !

Ô bois hospitaliers, mes rêveuses douleurs N'ont pas longtemps, hélas ! à jouir de votre ombre

Nonobstant ses douleurs et tant de maladies impliquées

Depuis le jour qu'Adam, déchu de son état, D'un tribut de douleurs paya son attentat, La canicule en feu dévora les campagnes

Et d'un ton paternel réprimant ses douleurs : Laisse au chantre, dit-il, la tristesse et les pleurs

Vous croyez donc que les déplaisirs et les plus mortelles douleurs ne se cachent pas sous la pourpre ? ou qu'un royaume est un remède universel à tous les maux, un baume qui les adoucit, un charme qui les enchante ?

Vous croyez donc que les déplaisirs et les plus mortelles douleurs ne se cachent pas sous la pourpre, ou qu'un royaume est un remède universel à tous les maux, un baume qui les adoucit, une charme qui les enchante ?

Ces prières apostoliques qui, par un espèce de charme divin, suspendent les douleurs les plus violentes

Vous croyez donc que les déplaisirs et les plus mortelles douleurs ne se cachent pas sous la pourpre ?

Si nous entendons du Messie ce grand passage où Isaïe nous représente si vivement l'homme de douleurs frappé pour nos péchés et défiguré comme un lépreux

Ne croyez pas que ses excessives et insupportables douleurs aient tant soit peu troublé sa grande âme

Vous croyez donc que les déplaisirs et les plus mortelles douleurs ne se cachent pas sous la pourpre ?

Ne croyez pas que ses excessives et insupportables douleurs aient tant soit peu troublé sa grande âme