Citations sur mass.

Vous voudriez vous éterniser dans cette vallée de larmes

Il est vrai, à la lettre, d'un chacun de vous que vous allez être établis ou que vous l'êtes déjà pour édifier ou pour détruire

Vous supposeriez qu'avoir confessé des crimes invétérés, c'est les avoir punis

Vous qui mettez à profit les misères publiques, qui appréciez les larmes et l'indigence de votre frère, et qui ne lui tendez la main que pour achever officieusement de le dépouiller

Leurs mains [des princes] sont premièrement destinées à manier ces ressorts principaux des États qui font mouvoir la machine

Dieu, quoiqu'il vous en ait laissé l'usage [des biens ecclésiastiques], n'en a aliéné ni le fonds, ni la propriété, puisqu'il peut vous les ôter par la mort, par l'injustice des hommes....

Vivre comme des impies sans aucune profession de culte

Grand Dieu ! les hommes pourront-ils détruire ce que vous avez édifié ?

Combien de fois vous est-on venu annoncer avec alarme : un tel vient d'expirer au sortir de table, du jeu, du crime quelquefois ?

Et quel est l'insensé sinon celui qui ne craint pas de la perdre [son âme] en vous offensant ?

Sa grâce [du Seigneur], comme son royaume, est le prix de la seule violence

Tout ce qui vous accommode vous appartient déjà

Si Jésus-Christ paraissait dans ce temple pour nous juger, pour faire le terrible discernement des boucs et des brebis

Saurez-vous.... vous naturaliser avec le sérieux de vos occupations.... et parvenir jusqu'à vous faire un délassement même de vos fatigues ?

Jamais la vie de la cour, toujours inégale, parce qu'elle est oiseuse, ne dérangea la respectable uniformité de sa conduite

Si nous remontions jusqu'à celui de leurs ancêtres qui donna le premier branle à l'infortune de sa postérité....

Un bon prince est toujours assez loué d'être aimé

Si les regrets de la reconnaissance sont les plus sincères et les plus sûrs, quel deuil a jamais dû être plus universel ?

Préférer l'oeuvre de Dieu, cet ouvrage si grand, si sublime, si honorable, aux niaiseries et aux inutilités des enfants du siècle

Ordonneriez-vous qu'on vous bandât les yeux pour ne pas voir le danger ?

Ce degré d'abandonnement qui fait les âmes égarées et criminelles

Ce royaume autrefois le soutien de la foi, et la plus pure portion de son Église, devenu par la licence des discours et l'impiété des sentiments, le théâtre d'honneur des philosophes et des incrédules

Ce serait une ivresse et une frénésie digne de pitié, d'acheter, par un instant rapide de plaisir, des peines et des horreurs éternelles

Une vertu fausse, superficielle, inanimée

Le crime où vous êtes abîmés depuis tant de temps