Citations sur mont.

Le pape ayant demandé à boire

Les paroles redictes [rapportées] ont, comme aultre son, aultre sens

L'areopage jugeoit de nuict, de peur que la veue des poursuyvants corrompist la justice

Tout formille de commentaires

Il vault mieulx prester au coup, que, s'aheurtant à ne rien relascher, donner occasion à....

Il n'est rien qu'on doibve tant recommander à la jeunesse, que l'activité et la vigilance : nostre vie n'est que mouvement

Les plus belles victoires que le soleil aye oncques veu de ses yeulx

L'heur et la beatitude qui reluit en la vertu

Avoir les yeulx plus grands que le ventre

Je sçais bien, quand j'ois quelqu'un qui s'arreste au langage des Essais, que j'aimerois mieulx qu'il s'en teust : ce n'est pas tant eslever les mots, comme desprimer le sens, d'autant plus picquamment que plus obliquement

Voilà l'extreme point où la cruauté puisse attaindre

Il l'exhortoit de se recommender à Dieu

[Le père de Montaigne] de soy, juroit sainctement estre venu vierge à son mariage, et si avoit eu fort longue part aux guerres delà les monts

Que l'enfance regarde devant elle, la vieillesse derriere

J'oserois croire qu'il [Socrate] s'y presta aulcunement lui mesme [à sa condamnation], par prevarication, à desseing, ayant de si prez à souffrir l'engourdissement des riches allures de son esprit

Je soubmets ces questions au jugement de ceux à qui...

Mechmet, celuy qui subjugua Constantinople.... pareillement indefatigable ruffien et soldat

Nostre charge [dans les leçons reçues] ce n'est que redire ce qu'on nous a dict

Les Romains avoient des chevaux qui se menoient à dextre ou à relais, pour les prendre tous frais au besoing

Soigneux de sa conservation et nonchalant de la nostre

Une grandeur de courage invincible

La premeditation de la mort est premeditation de la liberté : qui a apprins à mourir, il a desapprins à servir

Il faut apprendre aux enfants de haïr les vices.... et leur en apprendre la naturelle difformité

Traité d'accord

Ce n'est pas par discours ou par nostre entendement que nous avons receu nostre religion, c'est par auctorité et par commandement estrangier ; la foiblesse de nostre jugement nous y ayde plus que la force, et nostre aveuglement plus que nostre clairvoyance ; c'est par l'entremise de nostre ignorance plus que de nostre science que nous sommes sçavants de ce divin sçavoir