Citations sur cette

Quel temps a-t-il fallu aux élèves.... pour se mettre en état d'aborder cette messe, sans recourir au procédé barbare du serinage ?

C'est cette femme enfin [la Liberté].... qui vient.... D'écraser une armée et de broyer un trône Avec quelques tas de pavés

On scie, on taille, on polit le quartz comme toutes les autres pierres dures ; il y a eu pendant longtemps à Briançon un établissement dans lequel on sciait et on polissait cette pierre

Il se forme, dans le bain de fonte, des grumeaux de fer métallique que l'ouvrier cherche à rapprocher en une seule masse ; cette masse poreuse porte le nom de loupe, renard ou masse

On s'oppose en partie à la retraite des pièces d'argile et, par conséquent, à la plupart des inconvénients qui en résultent, en mêlant à l'argile des terres qui ne soient pas susceptibles de cette diminution de volume

La mer est la mine de sel la plus abondante, puisque la trentième partie de cette énorme masse de liquide est de sel marin

C'est dans cette contrée [la Libye] qu'on trouvait, suivant cet historien [Hérodote], des habitations construites en sel, comme celles de la Caramanie et de l'Arabie

Les filets de minerai qui parcourent cette gangue et les filons très minces portent souvent le nom de veine

Certaines pierres ont la propriété d'être sonores, presque à la manière des métaux ; cette propriété a surtout été remarquée par les Chinois, qui ont fait avec ces pierres des instruments de musique

La tyrannie.... Monstre aux bouches de bronze, arme pour cette guerre Ses cent yeux, ses vingt mille bras

Sans parents, sans amis et sans concitoyens, Oublié sur la terre et loin de tous les miens, Par les vagues jeté sur cette île farouche [l'Angleterre], Le doux nom de la France est souvent sur ma bouche

....Quand autrefois auprès De cette ingrate aimée, en nos festins secrets, Je portais à la hâte à ma bouche ravie La coupe demi-pleine à ses lèvres saisie, Ce nectar, de l'amour ministre insidieux, Bien loin de les éteindre, aiguillonnait mes feux

Mais, si nous ne vivons, ne mourons qu'une fois, Eh ! pourquoi, malheureux sous de bizarres lois, Tourmenter cette vie et la perdre sans cesse ?

....Trois pasteurs, enfants de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois turbulents Des molosses, gardiens de leurs troupeaux bêlants

Trois pasteurs, enfants de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois turbulents Des molosses...

J'accuserai les vents et cette mer jalouse, Qui retient, qui peut-être a ravi Lapeyrouse

N'avez-vous jamais soulevé, à minuit, cette jalousie et ce rideau ?

Tu ne sais pas lire ; mais tu sais ce que disent ces bois et ces prairies, ces tièdes rivières, ces beaux champs couverts de moissons, toute cette nature splendide de jeunesse

Certes, ces femmes-là, pour mener cette vie, Portent un coeur châtré de toute noble envie

C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie

Poëte, prends ton luth ; c'est moi, ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux

Poëte, prends ton luth ; c'est moi [la Muse], ton immortelle, Qui t'ai vu cette nuit triste et silencieux, Et qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux

M. Magy fait remarquer ici que cette assimilation des forces cosmiques aux forces hyperorganiques n'est point particulière aux métaphysiciens

Presque chaque figure [dans l'écriture mexicaine] répondit phonétiquement au son initial ou dominant offert par le nom de cette figure ; c'est ce qu'on a qualifié de syllabisme acrologique

Sénart, Légende de Buddha] est de montrer que la légende de Buddha plonge ses racines dans cette couche de l'hindouisme purement populaire d'où doit sortir toute cette végétation religieuse, si luxuriante, de l'Inde