Citations sur carl.

Il luy met un assez riche rubys dedans le doigt, qu'il tira du sien

Il amena le premier à la cour les branles du haut Barrois

Et au-dessous leur cachet apposé, qui sont bien aultres et plus grands qu'à la françoise, car ils sont tous timbrez

Six grandes coulevrines de dix-huict pieds de chasse, pour battre aux deffenses

Un gentilhomme qui estoit domestiquement à son service

Les conjurateurs scamperent jour et nuict, qui par la Seine, qui à cheval, qui à pied, pour se saulver

Il arriva en son camp le 4 juillet, où fust faict grandissime allaigresse pour sa reconvalescence

Une place de gentilhomme de la chambre des ordinaires, à 300 francs par quarte [par quartier]

Vous n'estes point subjecte à faire des affaiteries [coquetteries] comme la plupart d'elles font

Il arriva en son camp où fust faict grandissime allaigresse pour sa reconvalescence

À quoy Sa Majesté replicqua qu'il ne pouvoit pas retracter sa parolle

Il avoit huit galeres qui raudoient par toute cette mer

De premiere abordade, les nostres mirent deux des siennes à fond

Elle protesta tout hault, de ne faire sortir de son royaume hommes ny argent pour qui que ce soit

Aussi à la verité, il ne fust jamais concussionnaire

Et avoit Sa Majesté laissé son accoustrement violet, qui est le port ordinaire du dueil de nos roys

Ils se repatrierent avecques luy

Enseignes arborées et le tambour battant

Metairies, clozeries, borderies, cassines

Nous partismes de Mayence, pour venir à Coublants, aultrement Confluents, que nous disons en françois corrompu Conflans ; qui est quand une riviere entre en une aultre plus grande en laquelle elle perd son nom, comme Conflans entre Paris et le pont Charenton, etc.

.... que les modestes et temporiseurs, se fiants en leurs services, le perdoient [l'avancement] tout comptant

Les lettres que les princes susdicts escrivoient aux chefs de l'armée protestante estoient en forme de patente et non closes

Il est en la liberté de suivre tel parti qu'il lui plaira, comme marchissant et limitrophe entre l'empire et la France

M. de Vieilleville dit à Sa Majesté, qu'elle avait bien articulairement respondu sur toute son instruction ; mais....

Si on eust poursuivy la conqueste de Milan, l'on en eust eu sans doute la raison