Citations sur p. l. cour.

Faire proriétaire, sans dépouiller personne, l'homme qui n'est que mercenaire ; donner la terre au laboureur, c'est le plus grand bien qui se puisse faire en France depuis qu'il n'y a plus de serfs à affranchir

Théophraste raconte que Périclès malade montrait à un de ses amis certains amulettes que les femmes lui avaient attachés au cou

C'est une pièce achevée dans le style de Diafoirus

J'aurais pu rester longtemps dans les griffes des alguazils, si on n'eût pas parlé de moi

Votre lettre me trouvera bien sain et me fera bien aise

Vous êtes préparé, vous, sur ces matières-là ; vous avez beau jeu contre nous, quand il s'agit des arts et de la littérature

Je m'en prends à mon étoile, et j'accuse les dieux qui ne veulent pas nous voir ensemble si près d'eux [au sommet des Pyrénées], non plus que Castor et Pollux

Vous nous plaignez beaucoup, nous autres paysans.... mais songez donc, monsieur, qu'autrefois on nous tuait pour cinq sous parisis

La princesse de Santa Croce a lancé son fils dans les troupes françaises

Un général emploie chez nous son galon et sa broderie à couvrir une si grossière incapacité

Vous voyez comme je travaille ; tout ce qu'on appelle décousu, bâton rompu, n'est rien en comparaison

Les jésuites criaient contre Pascal, et l'eussent appelé pamphlétaire, mais le mot n'existait pas encore ; ils l'appelaient tison d'enfer, la même chose en style cagot

Il est notoire dans le département qu'on peut me voler, me courir sus

Des gens ont aimé la liberté et Bonaparte à la fois, indivis

En Amérique, aucune hâblerie ne saurait subsister [à cause des journaux] ; le public n'est point trompé, n'y ayant là personne en pouvoir de mentir et d'imposer silence à tout contradicteur

Il n'est vilain qui n'en ait fait son apprentissage [des armes], et qui là-dessus n'en remontre aux descendants de Duguesclin

J'ai vu Mme la duchesse, marraine de nos cloches, donner à la fabrique cinquante louis en or, et dix écus aux pauvres

Nous venons de faire un empereur, et, pour ma part, je n'y ai pas nui : voici l'histoire

Par là, tout s'aplanit dans la littérature.... un jeune homme, dans les lettres, avance, fait son chemin, comme dans les sels et les tabacs

Il y a en moi, pauvre et simple homme de village, plus de bêtise que de méchanceté

Sans les autres avanies faites par la police au marchand détaillant

N'en donne [des exemplaires de mon mémoire] qu'à ceux qui peuvent trompeter cela

L'un écrivait sous sa dictée [de Napoléon] les phrases ampoulées dont il amplifiait ses ordres du jour

On ne voit pas grande affiliation apparente entre la famille de Rosny de Sully et la vôtre

C'était [MM. les chambellans], vous disais-je, une canaille qu'il fallait laisser aboyer